Saturday, August 29, 2009

L'Amérique rend un dernier hommage au sénateur Kennedy



D'anciens présidents américains, des membres éminents du Congrès et de simples citoyens ont dit samedi adieu au sénateur Edward Kennedy, figure majeure de la politique américaine disparue mardi à 77 ans, sous la pluie fine et triste de Boston.


Républicains et démocrates ont laissé à Washington la brûlante question de la réforme du système de la santé, pour laquelle "Teddy" a longtemps combattu, et ont rejoint les derniers membres du clan Kennedy aux obsèques du sénateur.


Le président Barack Obama ne s'est pas étendu sur la question lors de son éloge funèbre en la basilique Notre-Dame du Perpétuel Secours de Boston, préférant rappeler son engagement en faveur des plus démunis.


"Il était le produit d'une époque où le charme et la noblesse de la chose politique empêchaient les différences partisanes et philosophiques de devenir des barrières au respect et à la coopération entre tous, une époque où les adversaires voyaient en l'autre un patriote avant tout", a dit Barack Obama.


"Et c'est ainsi que Ted Kennedy est devenu le plus grand législateur de notre époque", a ajouté Barack Obama, citant ses combats pour les droits civiques, la réforme de l'immigration et la couverture médicale pour les enfants.


C'est en cette basilique que le patriarche de la très catholique famille Kennedy venait prier quotidiennement lorsque sa fille Kara luttait contre un cancer des poumons en 2003.

47 ans au Sénat


Des dizaines d'hommes politiques américains, certains ayant lutté contre Ted Kennedy sur les bancs du Congrès, assistaient à l'office aux côtés d'Obama, des anciens présidents Jimmy Carter, George W. Bush, Bill Clinton et de leurs femmes.


Les mélodies du violoncelliste Yo-Yo Ma et la voix du ténor Placido Domingo devaient résonner entre les murs de la basilique construite il y a 130 ans dans un quartier ouvrier de Boston.


Depuis la mort d'un cancer du cerveau de Ted Kennedy, son corps a été exposé à la Bibliothèque présidentielle John Kennedy de Boston, où plus de 50.000 personnes ont défilé pour honorer sa mémoire.


Le service funéraire de vendredi, qui a duré trois heures, était réservé à la famille et aux amis proches du défunt, parmi lesquels le sénateur républicain John McCain, le vice-président démocrate Joe Biden et les sénateurs démocrates Christopher Dodd et John Kerry.


Le cercueil doit être transporté après la cérémonie au cimetière national d'Arlington, en Virginie, proche de Washington, où Ted Kennedy sera inhumé auprès de ses frères John et Robert.


Si Teddy a longtemps été dans l'ombre de ses deux frères, assassinés dans les années 1960, il a ensuite construit une longue carrière politique, siégeant 47 ans en tant que sénateur démocrate du Massachusetts.


"En tant que noir, que serais-je sans les Kennedy ?", a dit Clint Haymon, l'un des nombreux Américains venus devant la basilique malgré la pluie. "Ils croyaient dans les droits civiques et c'est pour cela que je suis là pour rendre hommage à ce grand homme."


PAR ROGER KITEMOKO MAMBWENE
journaliste

Wednesday, August 26, 2009

Attention cette fin de l'annee 2009 le monde connaitra beaucoups de phenomenes suite au systeme de changement de rechauffement climatique.

PAR ROGER KITEMOKO MAMBWENE.

Le sénateur démocrate Ted Kennedy est mort à l'âge de 77 ans


see the picture Ted Kennedy avec Bill Clinton - Le sénateur démocrate américain Edward "Ted" Kennedy, ténor de la vie politique aux Etats-Unis et dernier patriarche de la dynastie Kennedy, atteint d'une tumeur au cerveau, est décédé mardi soir à l'âge de 77 ans, a annoncé mercredi sa famille.

"Edward M. Kennedy -- le mari, le père, le grand-père, le frère et l'oncle que nous aimions tant -- est mort tard mardi soir chez lui à Hyannis Port", son fief dans l'Etat du Massachusetts (nord-est), a déclaré la famille Kennedy dans un communiqué.

"Nous avons perdu le centre irremplaçable de notre famille et une lumière joyeuse dans nos vies mais sa foi, son optimisme et sa persévérance resteront à jamais dans nos coeurs", ajoute le texte.

"Il aimait son pays et a voué sa vie à le servir", affirme encore la famille en soulignant son "combat infatigable" pour la justice sociale et contre la pauvreté.



C'est l'histoire extraordinaire d'une famille américaine hors du commun.

Jean-Bernard Cadier, spécialiste de politique internationale de FRANCE 24.


Les hommages de leaders politiques américains et dans le monde ont aussitôt afflué.

Se disant le "coeur brisé", le président américain Barack Obama a déclaré qu'"un chapitre important de notre histoire s'est clos".

"Notre pays a perdu un grand leader qui a relevé le flambeau de ses frères tombés, pour devenir le plus grand sénateur américain de notre temps", a-t-il dit depuis Martha's Vineyard (nord-est), où il est en vacances.

Le leader de la majorité démocrate au Sénat, Harry Reid, a exprimé sa tristesse face à la disparition de "notre patriarche", tandis que Nancy Reagan, l'épouse de l'ex-président conservateur Ronald Reagan, soulignait que son mari "et Ted avaient toujours su trouver un terrain d'entente et ils avaient beaucoup de respect l'un pour l'autre".

A l'étranger, le Premier ministre britannique Gordon Brown a notamment estimé qu'il serait regretté sur "chaque continent", tandis que son homologue irlandais Brian Cowen jugeait que son pays avait "perdu un véritable ami".

Surnommé de "lion de gauche", Ted Kennedy avait fait de la santé et de l'éducation ses deux grands chevaux de bataille et présidait la commission de la Santé au Sénat.

Son décès intervient en pleine bataille pour réformer le système de l'assurance maladie aux Etats-Unis.

A la fin de sa vie, il s'était attiré l'admiration de tous dans le combat sans trêve qu'il a mené contre le cancer qui l'a finalement emporté.

Il y a deux semaines seulement, le 11 août, la soeur de Ted, Eunice Kennedy Shriver, était décédée à l'âge de 88 ans. Mais gravement malade, le sénateur, communément appelé "Teddy", n'avait pu assister aux funérailles.

Le sénateur, élu pour la première fois en 1962, avait été opéré en juin pour une tumeur au cerveau, diagnostiquée en mai 2008.





Une page de l'histoire du Parti démocrate qui se tourne.

Philippe Labro, écrivain, journaliste et réalisateur.


Né le 22 février 1932 à Boston (nord-est), benjamin des neuf enfants de Joseph et de Rosa Kennedy, catholiques d'origine irlandaise, il a représenté le Massachusetts au Sénat des Etats-Unis sans interruption depuis son élection en 1962, dans les rangs démocrates, au siège laissé vacant par son frère John, devenu président.

Juriste, diplômé de l'Université de Harvard et de l'Ecole de droit de l'Université de Virginie, Ted Kennedy était resté dans l'ombre politique de ses frères aînés jusqu'à l'assassinat de Robert, en juin 1968, durant la campagne présidentielle, pour devenir ensuite peu à peu une icône de la gauche américaine.

Connu pour son tempérament de bon vivant, il personnifiait aussi l'opulence et l'élitisme. Au point, selon ses détracteurs, que les scandales de sa vie privée lui auront coûté l'accession aux plus hautes fonctions. Il n'a ainsi jamais obtenu l'investiture de son parti pour l'élection présidentielle.

Mais il a aussi souffert des nombreuses tragédies qui ont frappé le "clan", dont les assassinats successifs de ses deux frères, le président John Fitzgerald Kennedy en 1963, et en 1968 de Robert, ancien ministre de la Justice, alors candidat à la Maison Blanche. Un autre frère, Joe, pilote, est décédé durant la Seconde guerre mondiale.
PAR ROGER KITEMOKO MAMBWENE
journaliste

Saturday, August 22, 2009

L'ONU déploie 3 000 hommes supplémentaires pour renforcer ses troupes

Trois milles hommes, venus d'Egypte, de Jordanie et du Bengladesh, pour renforcer la Mission de l'ONU en République démocratique du congo (Monuc), devraient être déployés dans l'est de la RDC d'ici fin octobre, a-t-on appris mercredi auprès de la Monuc.

Le Conseil de sécurité avait le 20 novembre 2008, adopté une résolution décidant ce déploiement supplémentaire de 2.785 militaires et 300 policiers.

Ces éléments seront essentiellement déployés dans les provinces Orientale (nord-est), du Nord et Sud-Kivu (est), en proie à des violences dû à la présence de quelque 500 rebelles ougandais de l'Armée de résistance du Seigneur (LRA) et de 4.500 à 6.000 rebelles hutus rwandais des Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR).

La Monuc, qui compte actuellement quelque 17.000 Casques bleus, 700 observateurs militaires et plus d'un millier de policiers, appuie les Forces armées de la RDC dans la traque de ces deux groupes armés.

Parmi les renforts attendus figurent notamment un bataillon d'infanterie et une compagnie de forces spéciales égyptiens, un bataillon d'infanterie et une compagnie du génie bangladais, et une compagnie de forces spéciales jordanienne.

"Des petits détachements doivent arriver fin août, et le reste des effectifs devrait être déployé d'ici fin octobre", a précisé à l'AFP le porte-parole militaire de la Monuc, le lieutenant-colonel Jean-Paul Dietrich.

Déployée depuis 2001 en RDC, la Monuc est la plus importante mission de maintien de la paix de l'ONU dans le monde, avec un budget annuel de 1,35 milliard de dollars.
par Roger KITEMOKO MAMBWENE

Saturday, August 15, 2009

INTERNET;Facebook s'allège pour prendre du poids face à Twitter


La direction de Facebook est en train de tester une version allégée du site de socialisation, baptisée Facebook Lite, et qui pourrait concurrencer sur son terrain le très populaire site de micro-blogs Twitter.

"Nous sommes en train de tester une alternative simplifiée à Facebook.com qui permet de télécharger un certain nombre de données rapidement et efficacement", a indiqué mercredi à l'AFP la direction de Facebook, alors qu'internet bruissait de rumeurs sur cette nouveauté.

Facebook Lite, proche dans son utilisation de celle de Facebook à partir d'un téléphone portable, est "une version simplifiée, à téléchargement rapide, de Facebook", permettant entre autres aux utilisateurs d'écrire des commentaires, d'accepter de nouveaux amis ou de consulter des photographies.

Facebook Lite est testée en Inde et dans d'autres pays où les légions de nouveaux utilisateurs "cherchent à démarrer avec une approche plus simple", explique la société de Palo Alto (Californie, ouest).

Des blogueurs américains ont reçu par erreur mardi des invitations à tester en privé "Facebook Lite", avant que les liens ne soient retirés et qu'ils ne soient réorientés vers les pages classiques de Facebook.

Entre temps, des exemples de pages Lite ont été capturées par des utilisateurs et mises en ligne, montrant une succession de commentaires et de dialogues proches de ce qu'on peut trouver sur Twitter.

Facebook a annoncé lundi avoir racheté FriendFeed, un site qui fonctionne peu ou prou sur le même mode que Twitter et qui permet à ses utilisateurs de dévoiler et de partager avec leurs amis leurs activités sur internet en temps réel.

Cette acquisition et le lancement à l'essai de Facebook Lite font suite à la tentative ratée de Facebook d'acquérir Twitter. Facebook est le site de socialisation dont la croissance est la plus rapide, et revendique plus de 250 millions de membres.


PAR ROGER KITEMOKO MAMBWENE
journaliste

Friday, August 14, 2009

Le carco Artic sea se trouve a quelques 400 milles marins vers le cap -vert


- Le cargo Arctic Sea, mystérieusement disparu depuis fin juillet, se trouve à quelque 400 milles marins d'une île du Cap-Vert, a annoncé à l'AFP une source militaire au sein des garde-côtes de l'archipel.

"Le navire Arctic Sea se trouve à quelque 400 milles marins d'une des îles du Cap-Vert, donc, pour le moment, hors des eaux territoriales du Cap-Vert", a déclaré cette source, sous couvert d'anonymat, sans vouloir préciser de quelle île il s'agissait.

L'archipel du Cap-Vert est situé dans l'océan Atlantique à environ 450 km des côtes du Sénégal.

"La garde-côtière du Cap-Vert est en contact avec des agences et organismes internationaux qui l'informent, à tout moment, de l'évolution de l'avance du bateau", a-t-on ajouté de même source militaire, jointe par le correspondant de l'AFP à Praia.

Le vraquier Arctic Sea, doté d'un équipage russe et transportant une cargaison de bois finlandais évaluée à plus d'un million d'euros, avait contacté le 28 juillet les garde-côtes de Douvres, dans le sud de l'Angleterre, et était attendu à Béjaïa, en Algérie, le 4 août.

Interpol, l'organisme international de coopération policière, a prévenu les Britanniques que le cargo avait été abordé le 24 juillet par des hommes masqués dans les eaux suédoises, en mer Baltique. Ces hommes seraient restés à bord une douzaine d'heures.
Par Roger Kitemoko-Mambwene
journaliste

La Pop star americaine Madonna a annule le concert


La pop-star américaine Madonna a annulé le concert qu'elle devait donner le 20 août en Slovénie, a annoncé vendredi son organisateur en invoquant des raisons de "logistique".

"En raison de difficultés logistiques inattendues, le concert de Madonna programmé le 20 août à l'hippodrome de Ljubljana est annulé", indique dans un communiqué la société Live Nation, chargée de l'organisation en Europe de l'Est de la tournée Sticky and Sweet de la "reine de la pop".

Les concerts prévus le 18 août à Munich (Allemagne) et le 22 août à Budapest ne sont en revanche pas remis en question, a précisé Live Nation.

Selon les médias slovène, l'annulation du concert de Ljubljana s'expliquerait en réalité par des ventes insuffisantes. Seules 7.000 des 63.000 places proposées avaient pris preneur dans ce petit pays de deux millions d'habitants, avait révélé jeudi le site 24ur.
PAR ROGER KITEMOKO MAMBWENE
journaliste

AFP - La Cour pénale internationale (CPI) a ordonné vendredi la "mise en liberté provisoire" de Jean-Pierre Bemba, ancien vice-président de la République démocratique du Congo (RDC), mais doit encore décider quel Etat pourra l'accueillir dans l'attente de son procès.

"Aujourd’hui 14 août 2009, la Chambre préliminaire II de la Cour pénale internationale a décidé de faire droit, sous condition, à la demande de mise en liberté provisoire de Jean-Pierre Bemba Gombo", a indiqué la CPI dans un communiqué.

"L’exécution de cette décision est reportée dans l’attente de la détermination de l’Etat sur le territoire duquel Jean-Pierre Bemba Gombo sera libéré et de la détermination des conditions qui lui seront imposées", précise la Cour.

La CPI va tenir entre le 7 et le 14 septembre des audiences pour entendre les observations des Etats susceptibles d'accueillir l'accusé, à savoir la Belgique, la France, le Portugal, l'Afrique du sud, l'Italie et l'Allemagne, selon cette source.

Son avocat Me Aimé Kilolo avait réclamé la remise en liberté de M. Bemba lors d'une audience devant la CPI le 29 juin. L'accusé possède notamment des propriétés et des comptes bancaires en Belgique où ses enfants sont scolarisés et a des "liens sociaux importants" en France, avait expliqué Me Kilolo.

M. Bemba est accusé de meurtre, viol et pillage notamment, des crimes de guerre et crimes contre l'humanité, selon le procureur de la Cour pénale internationale. La date de son procès n'a pas encore été fixée.

Jean-Pierre Bemba, 46 ans, avait comparu devant la CPI du 12 au 15 janvier lors d'audiences de confirmations de charges concernant des exactions commises par sa milice, le Mouvement de libération du Congo (MLC), en Centrafrique entre octobre 2002 et mars 2003.

Après avoir estimé que les allégations comportaient "suffisamment d'éléments de preuves" pour justifier la tenue d'un procès, la CPI avait ordonné le 15 juin de renvoyer M. Bemba en jugement en sa qualité de "chef militaire" du MLC.

La CPI estime qu'il n'y a pas de risque que M. Bemba fasse obstacle à l'enquête ou commette à nouveau les mêmes crimes s'il attend le début de son procès en liberté, selon le communiqué.

Jean-Pierre Bemba, qui avait quitté la RDC en avril 2007 après avoir perdu les élections présidentielles de 2006 face à Joseph Kabila, avait été arrêté en mai 2008 à Bruxelles. Il avait été transféré puis placé en détention à La Haye, où siège la CPI, début juillet 2008.
Réagir (13) Imprimer save AFP - La Cour pénale internationale (CPI) a ordonné vendredi la "mise en liberté provisoire" de Jean-Pierre Bemba, ancien vice-président de la République démocratique du Congo (RDC), mais doit encore décider quel Etat pourra l'accueillir dans l'attente de son procès.

"Aujourd’hui 14 août 2009, la Chambre préliminaire II de la Cour pénale internationale a décidé de faire droit, sous condition, à la demande de mise en liberté provisoire de Jean-Pierre Bemba Gombo", a indiqué la CPI dans un communiqué.

"L’exécution de cette décision est reportée dans l’attente de la détermination de l’Etat sur le territoire duquel Jean-Pierre Bemba Gombo sera libéré et de la détermination des conditions qui lui seront imposées", précise la Cour.

La CPI va tenir entre le 7 et le 14 septembre des audiences pour entendre les observations des Etats susceptibles d'accueillir l'accusé, à savoir la Belgique, la France, le Portugal, l'Afrique du sud, l'Italie et l'Allemagne, selon cette source.

Son avocat Me Aimé Kilolo avait réclamé la remise en liberté de M. Bemba lors d'une audience devant la CPI le 29 juin. L'accusé possède notamment des propriétés et des comptes bancaires en Belgique où ses enfants sont scolarisés et a des "liens sociaux importants" en France, avait expliqué Me Kilolo.

M. Bemba est accusé de meurtre, viol et pillage notamment, des crimes de guerre et crimes contre l'humanité, selon le procureur de la Cour pénale internationale. La date de son procès n'a pas encore été fixée.

Jean-Pierre Bemba, 46 ans, avait comparu devant la CPI du 12 au 15 janvier lors d'audiences de confirmations de charges concernant des exactions commises par sa milice, le Mouvement de libération du Congo (MLC), en Centrafrique entre octobre 2002 et mars 2003.

Après avoir estimé que les allégations comportaient "suffisamment d'éléments de preuves" pour justifier la tenue d'un procès, la CPI avait ordonné le 15 juin de renvoyer M. Bemba en jugement en sa qualité de "chef militaire" du MLC.

La CPI estime qu'il n'y a pas de risque que M. Bemba fasse obstacle à l'enquête ou commette à nouveau les mêmes crimes s'il attend le début de son procès en liberté, selon le communiqué.

Jean-Pierre Bemba, qui avait quitté la RDC en avril 2007 après avoir perdu les élections présidentielles de 2006 face à Joseph Kabila, avait été arrêté en mai 2008 à Bruxelles. Il avait été transféré puis placé en détention à La Haye, où siège la CPI, début juillet 2008.
PAR ROGER KITEMOKO MAMBWENE
journaliste

Wednesday, August 12, 2009

Hillary Clinton in side Drcongo yesterday before to flight Nigeria







U.S. Secretary of State Hillary Clinton brought an offer of help Tuesday for victims -- especially victims of sexual violence -- in Africa's longest war, a regional conflict that's dragged on for more than a decade.


U.S. Secretary of State Hillary Clinton visits with U.N. peacekeepers Tuesday in Goma, Congo.

1 of 2 "We want to banish the problems of sexual violence into the dark past where it belongs," she said during her visit to the Democratic Republic of the Congo.

In a meeting with leaders of nongovernmental organizations, Clinton said the United States will provide "more than $17 million in new funds to prevent and respond to gender and sexual violence."

On Monday, Clinton had delivered a blunt message to Prime Minister Adolphe Muzito when he hosted a dinner in her honor.

"There must be an end to widespread financial corruption and abuses of human rights and women's rights," she said. "There must be an improvement in governance and the respect for the rule of law."

She also called for "changes in the business climate, changes in the rules and regulations that involve contracts and the protection of property" to promote foreign investment.

On Tuesday, she offered help to the country's president, Joseph Kabila.

"I offered and the president accepted my sending of legal and financial and other technical experts to the DRC to provide specific suggestions about how to overcome these very serious obstacles to the potential of this country," she said, according to a pool report from Goma, in the east of the country.

Don't Miss
Girl, 9, details rape in Congo
Lost in translation? Question riles Clinton
Clinton heads for Angola
Clinton stands by South Africa on Zimbabwe policy
The Congo conflict has involved several countries and resulted in an estimated 5 million deaths from fighting and collateral problems such as disease and starvation, according to an International Rescue Committee survey conducted more than a year ago. The United Nations estimates 200,000 women and girls have been raped in Congo since war broke out 12 years ago.

"I will be pressing very hard for not just assistance to help those who are being abused and mistreated, in particular the women who are turned into weapons of war through the rape they experience, but also looking for ways to try to end this conflict," Clinton said.

"I hope that here in the [Congo] there will be a concerted effort to demand justice for women who are violently attacked, and to make sure that their attackers are punished," she said Monday after a tour of a Kinshasa, Congo, hospital.

The United Nations said there were 15,996 cases of sexual violence registered in Congo in 2008. A Human Rights Watch report says two out of three rapes were carried out against children, mostly adolescent girls.

Clinton took a small U.N. plane on the 1,000-mile trip from Kinshasa to Goma, the scene of intense fighting over the past several years.

The smaller aircraft was necessary because the U.S. plane being used on her seven-nation Africa trip is too big for the local landing strip, Clinton told reporters Monday.

She opened her Africa trip in Nairobi, Kenya, then went to South Africa and Angola. After Congo, she will travel to Nigeria, Liberia and Cape Verde.

The Obama administration is using Clinton's tour to promote development and good governance and underscore the president's commitment to Africa.
BY ROGER KITEMOKO MAMBWENE/JOURNALIST

Tuesday, August 11, 2009



Mardi 11 août 2009 Réagir (11)
"Mon mari n'est pas secrétaire d'État, moi si", peste Hillary Clinton
Bill Clinton - États-Unis - Hillary Clinton - RD Congo
clinton-RDC.jpg

À Kinshasa, la secrétaire d'État américaine a été interrogée par un jeune Congolais qui voulait connaître l'avis de son époux, l'ex-président Bill Clinton, sur une question politique. Irritée, Hillary Clinton a répondu très sèchement.
Par Roger Kitemoko