Tuesday, April 12, 2016

Kimbanguistes et les africains ainsi que Toute la RDCONGO Celebrent aussi le Mois de L'inventeur de l'ecriture negro africaine le Mandombe " DAVID WABELADIO PAYI " QUI ETAIT MORT AVRIL 2013.

La Defunte Maman biologique de Roger Kitemoko Ada (MAMAN BERNADETTE KINAWOKO - KIANGEBENI ) Le 13 Avril 1996 au 13 Avril 2016 donc 20 ans depuis qu'Elle nous a quittée.

La Defunte Maman biologique de Roger Kitemoko Ada (MAMAN BERNADETTE KINAWOKO - KIANGEBENI ) Le 13 Avril 1996 au 13 Avril 2016 donc 20 ans depuis qu'Elle nous a quittée.L'equipe du Canal DX Virtuel et L'eclipse magazine ainsi que la famille kitemoko et Tous les kimbanguistes du monde entier lui rendent un grand Hommage.Elle etait parmi les co fondatrices de l'association de femmes Kimbanguistes mondiales et Enseignante de personnes agées de l'Eglise Kimbanguiste en Rdcongo.

Monday, April 11, 2016

Visite historique du secrétaire d'État américain au mémorial de la paix d’Hiroshima, ville qui a subi le premier bombardement nucléaire de l'histoire. Accompagné des ses homologues du G7, il a plaidé pour "un monde sans armes atomique".

Il est devenu lundi le premier secrétaire d'État et plus haut responsable gouvernemental américain à visiter le mémorial d'Hiroshima depuis le bombardement atomique par les États-Unis, en 1945. Le Japon a qualifié d'"historique" la visite de John Kerry et de ses homologues du G7 qui a eu lieu dans le cadre d'une réunion préparatoire avant un sommet en mai. Les ministres des Affaires étrangères sont arrivés en fin de matinée au musée du Mémorial de la paix, hommage aux 140 000 victimes du 6 août 1945. "Tout le monde devrait voir et ressentir la puissance de ce mémorial", a écrit John Kerry sur le livre d'or du musée, selon le texte fourni par le département d'État. "Cela nous rappelle avec force et dureté que nous avons non seulement l'obligation de mettre un terme à la menace des armes nucléaires, mais que nous devons aussi tout faire pour éviter la guerre", a insisté le ministre, ancien combattant au Vietnam, devenu un grand sceptique de l'interventionnisme militaire et favorable au désarmement. Après la visite du musée, qui donne l'ampleur du drame à travers des images insoutenables, les ministres du G7 se sont rendus dans le parc entourant le musée. Ils ont déposé des gerbes de fleurs devant le Cénotaphe, une arche qui surplombe un tombeau où sont inscrits les noms des victimes, avec une promesse gravée dans la pierre : "Reposez en paix, nous ne laisserons pas se reproduire la tragédie". Accueillis par une foule d'écoliers agitant des drapeaux des sept pays (États-Unis, Japon, Canada, France, Royaume-Uni, Italie, Allemagne), les chefs de la diplomatie des plus grandes puissances occidentales se sont ensuite vus remettre un collier fait de grues en papier, symboles de paix. Pas d'excuses John Kerry est apparu souriant, serrant la main d'enfants, avant de se recueillir avec gravité devant le monument, aux côtés de son homologue japonais Fumio Kishida, hôte de la réunion. Sa visite pourrait ouvrir la voie à la venue du président américain Barack Obama, à l'occasion du Sommet de chefs d'État et de gouvernement du G7 les 26-27 mai dans l'archipel, même si officiellement aucune décision n'a été prise. Le chef de l'État a l'ambition affichée depuis 2009 de parvenir à un "monde sans armes nucléaires". Interrogé dimanche soir pour savoir si John Kerry allait exprimer des regrets, un diplomate américain a répondu qu'il ne présenterait pas d'"excuses" formelles mais que le ministre, comme "tous les Américains et les Japonais, était rempli de tristesse". "C'est un sujet qui est cher à son cœur et je sais que demain sera un jour très émouvant pour lui", avait ajouté le responsable américain. Une déclaration doit être publiée à l'issue de la rencontre pour appeler au désarmement nucléaire et à la non-prolifération. La menace nord-coréenne a notamment été longuement évoquée. Cette visite sans précédent pour les États-Unis, ainsi que pour les deux autres puissances nucléaires du G7, le Royaume-Uni et la France, a fait passer au second plan les discussions menées depuis dimanche par les ministres sur les grands sujets du moment. Placée sous haute sécurité, la rencontre, prélude à une série de rendez-vous ministériels avant le sommet, a abordé la question du terrorisme, avec en ligne de mire le dossier syrien et la lutte contre les jihadistes du groupe État islamique (EI), selon le ministre français Jean-Marc Ayrault. La Chine a aussi beaucoup occupé les débats du G7 qui prévoit de délivrer un document sur la sécurité maritime, avec en filigrane la volonté de contrecarrer les ambitions de Pékin en mers de Chine. Le ministre chinois des Affaires étrangères, Wang Yi, avait pourtant exhorté le G7 à ne pas aller sur le terrain "des querelles historiques ou même des disputes territoriales". "Cela ne résoudra pas le problème, mais affectera au contraire la stabilité régionale", avait-il averti.

REVUE DE PRESSE AFRIQUE A la Une: Idriss Déby vers un cinquième mandat

Après 26 ans au pouvoir, le président tchadien s’apprête à rempiler… Peu ou pas de suspense après le premier tour de la présidentielle hier dimanche. « Il n’y a pas eu de match », affirme le site d’opposition tchadien TchadActuel. « Le déséquilibre est patent et palpable, poursuit-il. Là où les autres candidats ont utilisé leurs propres moyens, par ces temps de disette sciemment entretenue par le pouvoir MPS, Déby, sans honte ni vergogne, fidèle à ses pratiques depuis 26 ans, a puisé dans la caisse commune. Tout a été en effet financé de bout en bout par les fonds publics. Quant à la campagne, poursuit TchadActuel, les candidats de l’opposition ont fait un bilan exhaustif largement négatif du candidat MPS avant d’exposer leurs propres programmes axés sur les besoins élémentaires des tchadiens : éducation, santé, infrastructures, sécurité alimentaire, sécurité, l’armée, les institutions de la République, etc. En revanche, pointe le site tchadien, le candidat MPS a fait table rase de son bilan de 26 ans de règne et les électeurs n’ont en réalité rien compris de ce qu’il leur proposait comme nouveautés après un quart de siècle de pillage à l’exception de deux mots qui reviennent comme un leitmotiv : la stabilité et le chemin de fer ! » La messe est quasiment dite… Très critiques également les médias ouest-africains… Pour le site guinéen Ledjely.com, « les dés sont pipés d’avance. Tenant son pays d’une main de fer depuis un quart de siècle et maîtrisant en particulier les principaux leviers du processus électoral, Idriss Déby Itno est parti pour écraser ses supposés concurrents. D’ailleurs, de la part de l’opposition tchadienne, c’est faire preuve d’une incroyable naïveté que d’avoir accepté de cautionner le processus en y participant. » « Une formalité pour le dictateur Déby », renchérit Le Pays au Burkina. « La messe étant quasiment dite pour l’opposition, reste à savoir ce que nous réservent les lendemains de cette nouvelle victoire plus que probable de Déby. » Et Le Pays de s’interroger : « le front social en ébullition va-t-il se calmer après la publication des résultats de la présidentielle ou va-t-on, au contraire, assister à une métastase des mouvements d’humeur et de contestation dans le pays ? Les opposants politiques du maître de NDjamena vont-ils se résoudre facilement à faire contre mauvaise fortune bon cœur ? La société civile acceptera-t-elle de se résigner ou trouvera-t-elle les ressorts internes pour poursuivre la lutte ? Il faudra attendre de voir. Le régime travaillera sans doute à obtenir par tous les moyens, le silence des différents groupes de pression. Mais, à terme, prévient Le Pays, le Tchad pourrait devenir très difficile à gouverner à l’issue de ce scrutin. » Le soutien des Occidentaux Pour L’Observateur Paalga, toujours au Burkina, Déby est d’autant plus en position de force qu’il a le soutien de la communauté internationale… « Président en exercice de l’Union africaine, Déby a acquis une stature de premier plan en Afrique ces dernières années, pointe le quotidien ouagalais, grâce à son efficace et redoutable armée : en première ligne avec les Français, ses troupes sont parties à l’assaut des djihadistes au Nord-Mali en 2013 ; et en 2015 l’armée tchadienne a mené une grande offensive au Cameroun, au Nigeria et au Niger contre les islamistes de Boko Haram. A l’heure de la lutte mondiale contre le terrorisme islamiste, de telles interventions militaires lui valent donc, affirmeL’Observateur Paalga, de solides appuis des Occidentaux, particulièrement de la France. Et comme la menace réelle d’attentats de Boko Haram légitime un régime fort et le renforcement des mesures sécuritaires, les libertés et les droits de l’homme, qui n’ont déjà pas pignon sur rue au Tchad, pourraient en souffrir. Est-ce là suffisant pour le prémunir contre la colère de son peuple ?, s’interroge L’Observateur. Le plus important pour Déby n’est donc pas tant le scrutin lui-même que l’après-scrutin. » Plus largement, le site Guinée Conakry Infos note l’avalanche de scrutins cette année sur le continent : « 2016 restera dans les annales politiques africaines, comme une année de consultations menées à un rythme infernal. Apres le Niger, l’Ouganda, le Cap Vert, le Congo, le Bénin ; ce dimanche, ce sont le Tchad et les Comores qui étaient au rendez-vous, en attendant beaucoup d’autres, comme les Seychelles, Sao Tomé et Principe, le Gabon, l’Angola ou la Somalie, etc. […] Toutes ces élections viendront tomber dans l’escarcelle démocratique du continent africain, avec des interrogations essentielles sur leur nature. » Ainsi s’interroge Guinée Conakry Infos, « assistons-nous à la poussée de “démocratures”, ces mixtures amères d’un semblant de démocratie revêtu de dictature ? Ou bien sommes-nous tombés comme ailleurs dans ces “monarchies républicaines”, où le temps d’un pouvoir ne compte plus ? » Il y a sans doute un peu des deux…

Thursday, April 7, 2016

RDC: la Biac rouvre ses portes et veut rassurer sa clientèle

Les guichets de la Banque internationale pour l'Afrique au Congo (Biac) ont rouvert ce mercredi à Kinshasa. Cette banque a traversé une situation trouble qui a suscité des rumeurs parmi lesquelles les plus folles. La clientèle inquiète a même entrepris de retirer ses dépôts. Une nouvelle direction collégiale a été mise en place. Mise en cause, la Banque centrale du Congo est venue au secours en mettant à la disposition de la Biac une importante quantité d'argent liquide et en rassurant la clientèle sur l'avenir de l'établissement bancaire. « Aujourd’hui, il y a des clients qui ont été servis en dollars, des clients VIP. Au niveau des caisses, il y avait d’autres clients aussi qui ont été servis, mais il y avait des montants précis », témoigne Dody Ilunga qui était ce mercredi à la Banque internationale pour l'Afrique au Congo.« Pour le compte épargne, en tout cas les gens n’arrivent pas à avoir au-delà de 300 dollars. Pour les comptes courants, il y a d’autres personnes qui sont servies. On leur donne 800 à 1 200 dollars ». Priorité a été accordée aux fonctionnaires dont plusieurs ont pu percevoir leurs salaires : « Pour le franc congolais, en tout cas la situation est bonne. Là, j’ai vu, on est en train de payer les salaires des fonctionnaires de l’Etat. Quelques amis aussi sont venus faire les retraits en francs congolais. J’avais un ami qui devait avoir plus de deux millions et on lui a servi ». La veille, c'est-à-dire mardi, la Banque centrale avait révélé avoir mis d'importants fonds liquides à la disposition de la BiaC La Biac, troisième banque de RDC, connaît une «crise passagère de liquidités» La RDC se dote de nouveaux billets de banque Procès de la banqueroute de la Banque congolaise en RDC: des personnalités appelées à la barre A partir de ce lundi 2 juillet, la RDC va progressivement mettre en circulation des coupures de 1 000, 5 000 et 10 000 CDF, en plus de celles de 50, 100, 200 et 500 déjà existantes. Elles seront émises dans les grandes villes, et particulièrement les principaux pôles d’activité économique, puis la couverture s’étendra au reste du pays, selon la Banque centrale. « Pour 100 dollars, combien faut-il de billets de 500 ou 200 francs congolais ? » Le président de la commission économique, financière et de bonne gouvernance du Sénat pose le problème avec le sourire. Mais Evariste Mabi Mulumba, également ex-président de la Cour des comptes, se garde bien de résoudre l’équation. Pas que le calcul lui échappe : avec un taux de 1 dollar pour environ 920 francs congolais (CDF), 100 billets verts valent 184 coupures de 500 CDF, et 460 de 200 CDF. Plutôt, son silence souligne que de nombreux Congolais doivent transporter des liasses de billets pour accomplir de simples transactions, comme le règlement de leurs factures. Lutte contre la dollarisation de l’économie L’environnement macroéconomique de la RDC est « au beau fixe », sa croissance est globalement comprise « entre 5% et 7% » depuis cinq ans, et le taux de change reste « remarquablement stable », explique notamment dans un discours le gouverneur de la Banque centrale, Jean-Claude Masangu. Hormis la facilitation des transactions, l’ex-Zaïre espère « réduire les coûts de production, de stockage, de transport et de distribution des billets de banque que supporte l’Institut d’émission ». Autre priorité : la lutte contre la dollarisation de l’économie pour que la monnaie nationale ne soit plus « reléguée au rang de sous-multiple du dollar américain ». « C’est une bonne idée en principe mais, actuellement, si vous avez une facture de 1 275 francs, vous allez en payer 1 300 parce qu’on ne pourra pas vous rendre la monnaie. Vous laissez les 25 francs là ! », fulmine Christophe Tshibumbu wa Katanda, président du Collectif des défenseurs des consommateurs de la RDC. « En Europe, où les gens touchent un salaire viable, on ne laisse pas un centime à la caisse. Alors pourquoi ici, où les gens touchent un salaire faible, ils doivent laisser 25 francs ? On est en train de faire faire une épargne forcée au consommateur, mais malheureusement cette épargne n’est pas exploitée » pour améliorer le bien-être des quelque 70 millions de Congolais, dont deux tiers vivent avec 1,25 dollar par jour, poursuit le militant. La Banque centrale promet que les coupures de 50, 100 et 200 CDF vont disparaître au profit de pièces de même valeur. Mais pour Godefroid Kabengele Dibwe, professeur d’économie internationale à l’Université de Kinshasa, « la sortie des nouveaux billets doit s’accompagner de pièces de 1, 5, 10 ou 20 francs pour rendre les transactions plus fluides. » « Un taux d’inflation de 23 000% » Alors que Jean-Claude Masangu et le gouvernement multiplient les messages pour sensibiliser et rassurer la population, Jonas Tshiombela, président de la Nouvelle société civile congolaise, met en garde : « Il y a toujours des dérapages, des spéculateurs qui arrivent, en profitent pour perturber le système tel qu’il est équilibré maintenant ». Cette crainte résulte entre autres de la terrible année 1993. « La RDC a enregistré un taux d’inflation de 23 000%, des intérêts très hauts, la cessation des intermédiations bancaires et des investissements en déclin dans tous les secteurs de l’économie », résume un rapport de la Communauté de développement d’Afrique australe (SADC), dont l’ex-colonie belge est membre. « Le contexte est tout à fait différent de 1993, où la RDC ne disposait presque pas de devises, précise le sénateur Mabi Mulumba. La Banque centrale dispose à l’heure actuelle d’un peu plus de 1,2 million de réserve de change. Si jamais sous l’effet psychologique il y avait une tendance à hausser les prix, elle pourrait intervenir rapidement.

Wednesday, April 6, 2016

Au moins 17 personnes ont été tuées dans les affrontements de lundi à Brazzaville, deux semaines après la réélection contestée du président congolais Denis Sassou-Nguesso, ont annoncé mardi les autorités du Congo-Brazzaville.

Le gouvernement de Sassou nguesso a affirmé hier 5 avril que les troubles ayant poussé la veille des milliers d'habitants à fuir les quartiers sud de Brazzaville avaient fait 17 morts. Brazzaville pointe du doig ancien chef de milice, Frédéric Bintsamou, d'être personnellement impliqué dans ces violences. Allié politique de cet ancien rebelle, Guy-Brice Parfait Kolélas, candidat malheureux à la présidentielle du 20 mars contre le président Denis Sassou Nguesso, a déclaré qu'il ne se satisfaisait pas de ces explications. Il a réclamé une enquête indépendante. Selon Thierry Moungalla, porte-parole du gouvernement congolais, 17 personnes dont 3 agents des forces de l'ordre, 2 civils et 12 assaillants, ont été tuées lundi. Celui-ci a qualifié les violences d'attaque terroriste". Thierry Moungalla avait accusé lundi des ex-miliciens "Ninjas Nsiloulou" d'être à l'origine des tirs d'armes automatiques et détonations ayant réveillé les riverains de cette zone dans la nuit de dimanche à lundi. Il a renforcé ces accusations en affirmant que le gouvernement disposait de "preuves accablantes" de "l'implication active de [Frédéric] Bintsamou". Brazzaville accuse la milice Ninja La milice Ninja Nsiloulou, aujourd'hui dissoute, a combattu le pouvoir de Sassou Nguesso pendant la guerre civile dite du "Pool" (1998-2003). Son chef, Frédéric Bintsamou, a fini par se rallier à Sassou Nguesso avant de rejoindre récemment l'équipe de campagne de Guy-Brice Parfait Kolélas. Frédéric Bintsamou dispose d'une garde rapprochée, équipée d'armes automatiques et de mitrailleuses lourdes, et constituée pour bonne part d'ancien Ninjas. Au Congo, le nom des Ninjas évoque aussi celui des milices de Bernard Kolélas, le père de Guy-Brice Parfait Kolélas, qui ont combattu les Cobras de Sassou Nguesso pendant la guerre civile de 1997. Face aux accusations du gouvernement, Guy-Brice Parfait Kolélas - ancien ministre de Sassou Nguesso - a déclaré mercredi vouloir "qu'une enquête soit menée en toute impartialité" sur les troubles survenus lundi dans des quartiers ayant voté massivement pour lui le 20 mars. Guy-Brice Parfait Kolélas dénonce une "mascarade" Jugeant que le gouvernement allait "vite en besogne pour désigner les coupables", le candidat malheureux a qualifié de "mascarade" la version officielle présentant les événements de lundi comme une attaque concertée contre plusieurs bâtiments officiels. "Ma crainte c'est qu'on retombe dans ce que le Congo a connu de pire : les faux coups d'État". "J'attends qu'on m'apporte la preuve [...] de ce qui s'est passé", a-t-il ajouté, jugeant "bizarre" la coïncidence entre ces attaques présumées et "la proclamation des résultats définitifs" de la présidentielle par la Cour constitutionnelle lundi soir. La Cour constitutionnelle a confirmé lundi la victoire de Denis Sassou Nguesso dès le premier tour de l’élection présidentielle avec plus de 60 %. Guy-Brice Parfait Kolélas s'est étonné que cette instance ait rejeté son recours au motif qu'il n'aurait pas été déposé dans les temps, c'est-à-dire cinq jours après la proclamation des résultats officiels. "Nous étions dans les délais", a-t-il affirmé, mais la Cour a compté "le dimanche et le lundi [de Pâques] fériés comme des jours ouvrés", affirme-t-il. "C'est n'importe quoi." Après la proclamation des résultats provisoires de la présidentielle par le gouvernement, le 24 mars, Kolélas et quatre candidats d'opposition unis par une alliance électorale contre Sassou Nguesso avaient crié à la fraude et appelé la population à les rejeter par des voies légales et pacifiques.

Tuesday, April 5, 2016

CHAMPIONNAT MONDIAL DE HOCKEY FÉMININ Le Canada s’incline face aux États-Unis

Kamloops, C.-B. — Alex Carpenter a marqué le but de la victoire pour permettre aux États-Unis de battre le Canada 1-0 en prolongation et de décrocher la médaille d’or au Championnat mondial de hockey féminin, lundi. Carpenter a saisi une rondelle libre sur la ligne des buts pour donner la victoire aux siennes et a jeté une douche froide sur la foule du Sandman Centre de Kamloops, en Colombie-Britannique. Les Canadiennes venaient tout juste d’écouler une infériorité numérique après avoir raté deux chances avec l’avantage d’une patineuse. Les deux gardiennes ont offert d’excellentes prestations et il aura fallu un rebond chanceux pour venir à bout d’Emerance Maschmeyer, qui a récolté le titre de joueuse du match et de meilleure gardienne du tournoi. La foule a salué ses efforts en lui offrant une longue ovation. La gardienne américaine Alex Rigsby a réalisé 33 arrêts pour signer le jeu blanc tandis que Mashmeyer a repoussé 34 des 35 tirs dirigés vers elle. Les Américaines ont gagné les trois derniers championnats du monde et sept des neuf derniers. Les États-Unis et le Canada ont croisé le fer 17 fois en autant de championnats mondiaux. Le bronze aux Russes Plus tôt, Olga Sosina et Anna Shukina ont marqué en tirs de barrage pour procurer à la Russie une victoire de 1-0 face à la Finlande lors du match pour l’obtention de la médaille de bronze. La gardienne russe Nadezhda Morozova a repoussé 32 lancers. Elle a frustré Minttu Tuominen en sortant le bâton avant que Sari Karna frappe le poteau devant une foule de 2351 personnes au Sandman Centre. La Finlandaise Meeri Raisanen a repoussé 22 lancers en 70 minutes de jeu et a réalisé l’arrêt aux dépens de Yelena Dergachyova en fusillade. Shukina a cependant marqué sur la première tentative des siennes tandis que Sosina a scellé l’issue de la rencontre. La Russie avait aussi décroché le bronze en 2001 et en 2013.

Difficultés de la Biac: Jean-Lucien Busa interpelle la Banque centrale du Congo

Le député national Jean-Lucien Busa a déposé, lundi 4 avril au bureau de l’Assemblée nationale, une question orale avec débat à l’endroit de la Banque centrale du Congo (BCC). L’initiateur voudrait avoir plus d’éclairages sur la situation qui secoue la Banque internationale pour l’Afrique au Congo (Biac). La Biac connait un problème de liquidité depuis quelques jours. Des clients affluent dans les différents guichets et distributeurs automatiques des billets à Kinshasa pour retirer leurs épargnes mais ils ne sont pas servis. Cette situation a poussé le conseil d’administration de la Banque à limoger l’ancien directeur général Michel Losembe. Il a été remplacé par Anne Mbuguje, « avec une feuille de route précise et des objectifs immédiats». Pour Jean-Lucien Busa, la BCC est responsable de cette situation : « La Banque centrale doit nous expliquer comment on en est arrivé là. Est-ce que l’indépendance de la banque centrale dans la conception et la mise en œuvre de la politique monétaire est-elle encore respectée » ? Jean-Lucien Busa qui incrimine la BCC note que celle-ci, « entant que banque des banques n’a pas joué son rôle pour réguler le système financier congolais ». «La première faute est que la Banque centrale a rompu sa ligne de financement en faveur de la banque de façon brutale. La BCC a puisé, dans le compte de la Biac, selon nos informations, 30 millions USD pour financer les dépenses gouvernementales, en termes de prêt », ajoute le député Busa. Il indique que la Biac compte 400 000 déposants et 450 millions USD de dépôt. «Ce qui arrive à la Biac concerne des millions de Congolais, les employés de la Biac, les entrepreneurs, y compris leurs employés », poursuit Jean-Lucien Busa. Entre-temps, tous les guichets de la Biac sont fermés à Kinshasa conformément au communiqué de la Banque centrale du Congo. Plusieurs personnes qui se sont rendues dans leurs agences n’ont pas pu y accéder. L’objectif, d’après la Banque centrale, est de préparer un retour au fonctionnement normal de cette institution financière.

Monday, April 4, 2016

'RDC: 4 villages de Lubero se vident suite aux menaces des FDLR

'RDC: 4 villages de Lubero se vident suite aux menaces des FDLR Les populations de Kasiki, Miriki, Buleusa et Luofu, en territoire de Lubero (Nord-Kivu), abandonnent leurs habitations, depuis dimanche 3 avril, pour fuir les menaces des FDLR dans la contrée. Pris de panique, ces habitants accusent ces rebelles d'avoir jeté des tracts, annonçant le massacre de certains membres de communautés locales. La présence de huit officiers des FDLR, le 29 et 30 mars derniers, dans le camp des déplacés de Kyuto, renforce les craintes de ces habitants. Selon la société de Lubero, ces populations se ruent vers les localités de Kayna et Kirumba. Pour sa part, l’administrateur du territoire de Lubero, Bokele Joy, parle d’une intoxication et de fausses alertes pour paniquer la population: «Je pense que les gens doivent cesser d’intoxiquer l’opinion ; d’autant plus que dans la zone - que ce soit à Miriki, à Kyuto ou Luofu - il y a la présence de nos forces armées qui patrouillent chaque jour. Et même à Kyuto, où on a parlé de la présence des FDLR, il y a une position des FARDC.» Bokele Joy qualifie cette information de «fausses alertes», mais appelle toute fois les FARDC à être vigilantes dans la zone. De son côté, la société civile de Lubero dit prendre l’affaire au sérieux et regrette que les FDLR se déplacent librement dans le milieu, malgré la présence de l’armée nationale. Les rebelles rwandais sont accusés de commettre de diverses exactions contre les populations civiles dans le territoire de Lubero. En février dernier, quinze personnes étaient mortes et cinq autres blessées dans un accrochage entre les rebelles FDLR et les Maï-Maï du groupe NDC/Rénové de Guidon, à Mukeberwa, en territoire de Lubero (Nord-Kivu). Au mois de juillet 2015, le Bureau de coordination des affaires humanitaires (Ocha) avait recensé environ six mille quatre cents ménages déplacés à la suite des exactions des FDLR, en territoire de Lubero (Nord-Kivu).' Eclipse Canal Dx Virtuel RDC: 4 villages de Lubero se vident suite aux menaces des FDLR Les populations de Kasiki,...

Sunday, April 3, 2016

KATANGA IL N YA RIEN SOIT CALME ,QUE PERSONNE TROUBLE LA POPULATION.

Par Roger Kitemoko Mambwene Ada. Au Congo Rdc, Reste quelques mois pour la date prévue pour l'election présidentielle, la population de Lubumbashi s'inquiète de l'arrivée dans la ville riche miniere de plusieurs hommes de troupe accompagnés d'un armement lourd dont des chars d'assaut. L'affaire est relayée sur les réseaux sociaux d'autant que, selon l'opinion publique, la forte militarisation de l'ex-province du Katanga a commencé depuis mi-septembre 2015, au lendemain de l'exclusion des partis du G7 de la majorité présidentielle. Selon Lambert Mende Omalanga, c'est normal qu'un gouvernement équipe son armée et qu'il envoie des militaires se familiariser avec le nouvel armement. Il n'y a donc pas lieu de s'alarmer, estime le porte-parole du gouvernement qui dit ne pas comprendre pourquoi et comment du matériel de combat destiné à la défense du pays devrait susciter l'émoi au sein de la population. Car l'arrivée de plusieurs chars d'assaut à Lubumbashi - dix-huit de ces engins ont été aperçus à la gare ferroviaire de la ville- est diversement interprétée. Sur les réseaux sociaux, on parle d'une forte militarisation de l'ex-province du Katanga, particulièrement la nouvelle province du Haut-Katanga qui, peut-on lire sur Twitter, aurait reçu également près de 2000 militaires venus renforcer les effectifs déjà sur place . Il n'y a pas de conflit armé dans cette partie de la République, explique, pour sa part l'opposant Moise Katumbi, le désormais il n'y a aucun conflit armé dans cette zone.PLEBISCITE PAR LE G7 COMME SON CANDIDAT A LA PROCHAINE ELECTION PRESIDENTIELLE. Pour l'ancien gouverneur du Katanga, joint au téléphone depuis Bruxelles, l'ex-Katanga dans son ensemble est en paix. C'est plutôt vers l'est du pays que le matériel de guerre devrait être dirigé pour faire face à l'insécurité qui y règne. En tant que presse je conseil la population de resté toujours calme c'est normal qu'un gouvernement équipe son armée comme Lambert disait.