Thursday, August 29, 2013

Ghana: la Cour Suprême confirme Mahama à la présidentielle /Ghana: Supreme Court confirms the presidential Mahama


Ghana: la Cour Suprême confirme Mahama à la présidentielle
29 Août 2013

John Dramani Mahama, qui assurait l'intérim à la tête du Ghana depuis la mort du président John Atta Mills, est élu lors de la présidentielle du 7 décembre.   
Après huit mois de débats suite à un recours déposé par le principal parti d’opposition pour fraude, la victoire de Mahama est validée.

La Cour suprême du Ghana a confirmé jeudi la victoire du président John Dramani Mahama au scrutin de 2012 après huit mois de débats suite à un recours déposé par le principal parti d’opposition pour fraude. Mahama «a été élu de façon valide et le recours est donc rejeté», a déclaré le juge William Atuguba qui a lu la décision des neuf juges en charge du dossier.
Le Nouveau parti patriotique (NPP, opposition) avait déposé un recours au lendemain de l’élection présidentielle de décembre 2012  pour invalider la victoire de Mahama, dénonçant notamment le bourrage de certaines urnes et la prise en compte du vote d’électeurs n’étant pas munis de pièces d’identité.
Selon la Commission électorale, M. Mahama a remporté 50,7% des voix contre 47,7% pour le candidat du NPP, Nana Akufo-Addo, au cours d’un scrutin considéré comme honnête par les observateurs extérieurs. Certains des juges ont dit considérer comme valides une partie des arguments du NPP, mais ils ont fini par décider ensemble de confirmer la victoire de Mahama.

Ghana: Supreme Court confirms the presidential Mahama
August 29, 2013
 
John Dramani Mahama, who ensured the interim head of Ghana since the death of President John Atta Mills was elected in the presidential election of December 7.
After eight months of debate following an appeal filed by the main opposition party to fraud, victory Mahama is validated.
Release
The Supreme Court of Ghana on Thursday confirmed the victory of President John Dramani Mahama at the 2012 election after eight months of debate following an appeal filed by the main opposition party to fraud. Mahama "was validly elected and the appeal is dismissed," said Judge William Atuguba who read the decision of the nine judges in charge.
The New Patriotic Party (NPP opposition) had filed an appeal in the aftermath of the presidential election in December 2012 to invalidate the victory Mahama, denouncing including some stuffing ballot boxes and taking into account the vote of voters being not provided with identity documents.
According to the Electoral Commission, Mr. Mahama has won 50.7% of the vote against 47.7% for the candidate of the NPP, Nana Akufo-Addo, in a poll seen as fair by outside observers. Some judges said they consider valid arguments part of the NPP, but they eventually decide together to confirm the victory of Mahama.

ALPHONSE MATENZI EST MORT DEPUIS HIER MATIN le 28 Aout 2013

ALPHONSE MATENZI est mort hier le 28 Aout 2013 dans la capitale kinoise en Republique democratique du congo.ALPHONSE MATENZI EST RECONNU dans le district de tshangu entier car celui qui avait montrer la plus part des enfants de la commune de NDJILI,KIMBANSEKE,MASINA,la fabrication de BOUDIN ROUGE,BOUDIN BLANC,BOUDIN NOIR,SAUCISSON,SALAMIE,voir meme le gateau et le pain.ALPHONSE avait travailler de...puis la colonisation et jusque notre epoque,il est une figure tres connu dans ces societes,JVL,KITOBOLA,KWILU NGONGO,SGA,ABATOIR PUBLIQUE DE MASINA etc...
il avait laisser seulement un fils de 50 ans qui porte son nom mais son fils lui est un joueur on l'appel communement GAROIS tous les ndjilois lui connaissent car il habite ensemble avec son defunt pere dans la parcelle de son defunt papa ALPHONSE MATENZI.Le corps se retrouve dans la morque de l'hopital de maman yemo de Kinshasa et il sera exposer dans l'eglise kimbanguiste de kintambo selon sa niece Marie Manzambi tel 00243811844464 et 00243899647865.ALPHONSE MATENZI etait le seul oncle maternel de ROGER KITEMOKO -MAMBWENE d'ailleurs celui qui avait supporter certain de ses etudes apres la mort de ses parents.ALPHONSE MATENZI a beaucoups souffert vu l'age aussi que son ame repose en paix

Wednesday, August 28, 2013

28.08.13 - FRANCE/CONGO - LES POURSUITES FRANCAISES CONTRE LE GENERAL DABIRA SONT «NULLES ET DE NUL EFFET», SELON BRAZZAVILLE

CANAL DX VIRTUEL .

28.08.13 - FRANCE/CONGO - LES POURSUITES FRANCAISES CONTRE LE GENERAL DABIRA SONT «NULLES ET DE NUL EFFET», SELON BRAZZAVILLE
Arusha, 27 août 2013 (FH) - Le gouvernement du Congo- Brazzaville a qualifié de «nulles et sans nul effet» les poursuites judiciaires ouvertes en France contre le général Norbert Dabira mis en examen jeudi dernier à Paris dans le cadre de l’enquête sur l’affaire concernant plus de 350 personnes disparues au «Beach» de Brazzaville, en 1999.
«Tout ce qui se fait en France est nul et de nul effet dans le cadre de l'affaire», a déclaré lundi à Brazzaville devant le corps diplomatique et les médias, le ministre de la Justice Aimé Emmanuel Yoka. Qualifiant l’enquête française d’ «acharnement inacceptable», le garde des Sceaux a expliqué que l’affaire avait déjà fait l'objet d'un procès en République du Congo. Sur la compétence universelle de la justice française, il a précisé que celle-ci s'appliquerait «au cas où il y avait abandon ou incurie de la justice congolaise».
 
En 2005, la cour criminelle de Brazzaville avait organisé un procès hautement médiatisé au terme duquel tous les accusés - notamment quinze officiers de l'armée et de la police et de hauts fonctionnaires de l'Etat - avaient été acquittés.

Qualifiant de simulacre cette première procédure, l'Observatoire congolais des droits de l'homme (OCDH) a exigé, après la mise en examen de Dabira, un nouveau procès, conformément aux règles de l’art. «Il faut un procès équitable parce que nous avons toujours pensé que cette affaire n'avait jamais été jugée», a demandé Roch Euloge Nzobo, directeur exécutif de l'OCDH, dans un entretien avec l’AFP.

Dans un communiqué commun, l’OCDH, la Fédération internationale des ligues des droits de l'Homme (FIDH) et la Ligue des droits de l'Homme (LDH) s’étaient « réjouis » de la mise en examen du général mais tout en déplorant « avec force » les modalités du contrôle judiciaire qui ne permettent pas de s'assurer de sa mise à disposition de la justice française. Le tribunal lui donne obligation de répondre aux convocations du juge et interdiction d’entrer en contact avec toute personne concernée directement ou indirectement dans la procédure.

Le général, haut-commissaire à la réinsertion des ex-combattants avec rang de ministre délégué, est désormais poursuivi en France pour «crimes contre l'humanité» (pratique massive et systématique d'enlèvements, de disparitions et d'actes de torture).

Dabira, qui possède une maison en France, est l’une des quatre personnes expressément visées dans la plainte déposée en décembre 2001 par les trois organisations dans l’affaire du Beach de Brazzaville. Les plaignants demandent l’établissement des responsabilités pénales individuelles dans la disparition de plus de 350 personnes durant les premières semaines de mai 1999 au port fluvial du Beach de Brazzaville. La démarche des trois ONGs avait conduit à l’ouverture d’une information judiciaire en France, en février 2002, en application du principe de compétence universelle.
Par  ROGER KITEMOKO -MAMBWENE

© Agence Canal DX virtuel 2013

28.08.13 - FRANCE/CONGO - LES POURSUITES FRANCAISES CONTRE LE GENERAL DABIRA SONT «NULLES ET DE NUL EFFET», SELON BRAZZAVILLE

CANAL DX VIRTUEL .

28.08.13 - FRANCE/CONGO - LES POURSUITES FRANCAISES CONTRE LE GENERAL DABIRA SONT «NULLES ET DE NUL EFFET», SELON BRAZZAVILLE
Arusha, 27 août 2013 (FH) - Le gouvernement du Congo- Brazzaville a qualifié de «nulles et sans nul effet» les poursuites judiciaires ouvertes en France contre le général Norbert Dabira mis en examen jeudi dernier à Paris dans le cadre de l’enquête sur l’affaire concernant plus de 350 personnes disparues au «Beach» de Brazzaville, en 1999.
«Tout ce qui se fait en France est nul et de nul effet dans le cadre de l'affaire», a déclaré lundi à Brazzaville devant le corps diplomatique et les médias, le ministre de la Justice Aimé Emmanuel Yoka. Qualifiant l’enquête française d’ «acharnement inacceptable», le garde des Sceaux a expliqué que l’affaire avait déjà fait l'objet d'un procès en République du Congo. Sur la compétence universelle de la justice française, il a précisé que celle-ci s'appliquerait «au cas où il y avait abandon ou incurie de la justice congolaise».
 
En 2005, la cour criminelle de Brazzaville avait organisé un procès hautement médiatisé au terme duquel tous les accusés - notamment quinze officiers de l'armée et de la police et de hauts fonctionnaires de l'Etat - avaient été acquittés.

Qualifiant de simulacre cette première procédure, l'Observatoire congolais des droits de l'homme (OCDH) a exigé, après la mise en examen de Dabira, un nouveau procès, conformément aux règles de l’art. «Il faut un procès équitable parce que nous avons toujours pensé que cette affaire n'avait jamais été jugée», a demandé Roch Euloge Nzobo, directeur exécutif de l'OCDH, dans un entretien avec l’AFP.

Dans un communiqué commun, l’OCDH, la Fédération internationale des ligues des droits de l'Homme (FIDH) et la Ligue des droits de l'Homme (LDH) s’étaient « réjouis » de la mise en examen du général mais tout en déplorant « avec force » les modalités du contrôle judiciaire qui ne permettent pas de s'assurer de sa mise à disposition de la justice française. Le tribunal lui donne obligation de répondre aux convocations du juge et interdiction d’entrer en contact avec toute personne concernée directement ou indirectement dans la procédure.

Le général, haut-commissaire à la réinsertion des ex-combattants avec rang de ministre délégué, est désormais poursuivi en France pour «crimes contre l'humanité» (pratique massive et systématique d'enlèvements, de disparitions et d'actes de torture).

Dabira, qui possède une maison en France, est l’une des quatre personnes expressément visées dans la plainte déposée en décembre 2001 par les trois organisations dans l’affaire du Beach de Brazzaville. Les plaignants demandent l’établissement des responsabilités pénales individuelles dans la disparition de plus de 350 personnes durant les premières semaines de mai 1999 au port fluvial du Beach de Brazzaville. La démarche des trois ONGs avait conduit à l’ouverture d’une information judiciaire en France, en février 2002, en application du principe de compétence universelle.
Par  ROGER KITEMOKO -MAMBWENE

© Agence Canal DX virtuel 2013

Sunday, August 25, 2013

Proclamation sur la Journée de l'égalité de la femme 2013



Proclamation sur la Journée de l'égalité de la femme 2013
23 Août 2013

LA MAISON BLANCHE
Bureau du secrétaire de presse
23 août 2013

ÉGALITÉ Journée de la femme 2013

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PAR LE PRÉSIDENT DES ÉTATS-UNIS D'AMÉRIQUE

PROCLAMATION

Le 26 Août 1920, après des décennies de l'organisation, l'agitation, et la démonstration, notre pays a réalisé une grande victoire pour les droits des femmes et de la démocratie américaine. Le 19e amendement a été certifié, l'extension du vote aux femmes et de faire progresser le long cheminement de notre nation vers la pleine égalité pour tous les Américains. La ratification du 19e amendement a ouvert la voie à d'autres femmes à participer à la politique américaine - en tant que leaders, les candidats, les électeurs et les bénévoles. Aujourd'hui, les femmes représentent la majorité de l'électorat, et l'an dernier un nombre record de femmes ont été élues au Congrès des États-Unis. Lors de la Journée de l'égalité de la femme, nous célébrons les progrès qui ont été accomplis, et nous renouvelons notre engagement à assurer l'égalité des droits, des libertés et des chances pour les femmes partout dans le monde.

Dès le début, mon gouvernement s'est engagé à faire progresser le mars historique vers l'égalité des sexes. Nous avons lutté pour l'égalité salariale, interdit la discrimination entre les sexes dans le système de santé de l'Amérique, et créé le Conseil de la Maison Blanche sur les femmes et les filles, qui travaille à assurer un traitement équitable à toutes les questions de politique publique. En Mars, j'ai signé un renouvellement d'autorisation de la violence Women Act, qui fournit de meilleurs outils pour l'application de la loi visant à réduire la violence domestique et sexuelle contre, renforce les systèmes de soutien, et s'étend protections pour encore plus de femmes. Et plus tôt cette année, le ministère de la Défense a annoncé des plans pour éliminer les obstacles qui empêchent les femmes de servir le pays qu'ils aiment au plus haut niveau leur bravoure et talent extraordinaire va les prendre.

Pourtant, nous avons encore du travail à faire. Une approche équitable pour les femmes est essentielle à une classe moyenne en plein essor, mais alors que les femmes diplômé d'université à des taux plus élevés que les hommes, ils font encore moins d'argent après l'obtention du diplôme et ont souvent moins de possibilités d'occuper des emplois bien payés ou recevoir des promotions. En moyenne, les femmes gagnent 77 cents pour chaque dollar versé aux hommes. C'est pourquoi le premier projet de loi que j'ai signé est le Fair Pay Act Lilly Ledbetter. C'est aussi pourquoi j'ai créé le Groupe de travail national sur la parité salariale, qui est sévir contre les violations de l'égalité salariale à un taux record. Et c'est pourquoi j'ai publié un mémorandum présidentiel appelant à une stratégie pangouvernementale pour combler tout écart de rémunération entre les sexes au sein du personnel fédéral. Pour poursuivre ce travail, je vais continuer d'exhorter le Congrès à adopter la Loi sur l'équité de Paycheck, un projet de loi qui permettrait de renforcer la Loi sur l'équité salariale et donner aux femmes davantage d'outils pour contester des salaires inégaux. Mon gouvernement continuera également de notre campagne visant à encourager les femmes et les filles en science, technologie, ingénierie et mathématiques carrière, et nous permettra d'élargir nos efforts pour autonomiser les femmes et les filles à travers le monde.

Alors que nous réfléchissons avec fierté sur des décennies de progrès vers l'égalité des sexes, il faut aussi se résoudre à faire des progrès dans notre temps. Aujourd'hui, nous honorons les pionniers de l'égalité des femmes en faisant notre part pour réaliser ce grand rêve américain - le rêve d'une nation où tout est possible pour toutes les personnes.

EN CONSÉQUENCE, I, Barack Obama, Président des États-Unis d'Amérique, en vertu de l'autorité que me confèrent la Constitution et les lois des États-Unis, proclame par la présente 26 Août 2013, comme Journée de l'égalité des femmes. J'appelle le peuple des États-Unis pour célébrer les réalisations des femmes et promouvoir l'égalité des sexes dans notre pays.

EN FOI DE QUOI, j'ai apposé ma signature en ce vingt-troisième jour de Août, dans l'année de notre Seigneur 2013, année de l'indépendance des États-Unis d'Amérique les deux cent trente-huitième.

BARACK OBAMA